• J’enseigne ces techniques au cours d’ateliers ou de stages :
Ateliers de chants polyphoniques à partir du 24 septembre, plus d'informations > ici.
Dès que j’ai commencé à apprendre la danse avec le projet de danser ma vie, je me suis lancée dans le difficile parcours de l’apprentissage de la danse en France en 1962, j’avais 16 ans….
Enfant j’ai toujours pratiqué la danse Rythmique d’Irène Popard, danseuse et chorégraphe négligée dans l’histoire de la danse française ; la sœur de ma mère était danseuse dans sa compagnie.
Je rencontre la merveilleuse Solange Golovine qui m’a fait toucher l’amour d’une danse classique de l’émotion et qui respectait et encourageait la danseuse et la chorégraphe contemporaine que j’étais. J’ai travaillé les techniques contemporaines, surtout Martha Graham. Je suis partie aux Etats-Unis à la rencontre de la DANSE JAZZ et là, le bouleversement de rencontrer des élèves qui dansent tout le temps, qui sont toujours présents à leurs corps alors qu’en France la danse était le plus souvent pratiquée dans la contrainte : la minceur, les critères de la beauté, la souffrance de l’apprentissage… Cette nouvelle énergie que je découvrais est parvenue en France ces dernières années grâce à l’apport des jeunesses d’autres pays qui se sont installées et qui ont enrichi les vocabulaires corporels européens.
A 20 ans je pensais que dans les temps très anciens les danseuses et les danseurs étaient aussi des guérisseurs et j’ai décidé de travailler à la création d’un nouveau langage de danse qui considérerait le corps dans son amplitude maximum en comprenant comment émettre nos gestes, où trouver leurs racines ; d’où proviennent nos mouvements, où vont-ils et comment reviennent-ils vers nous ? Et pourquoi ne pas vivre nos gestes en même temps que nos sons, est-ce que le son ne précède pas le geste ? Davantage de sons, davantage de gestes…
Nous sommes de merveilleux instruments de musique et nous devons nous accorder… Nous devons connecter nos cerveaux avec notre bonne fréquence de sons et de gestes.
La VOCAL DANCE est née après un grand cycle de recherches de 9 années avec ma compagnie permanente « les BALLETS DE LA CITE » installée en Normandie près de Rouen de façon permanente. C’est d’une part une technique d’échauffement qui peut être envisagée avant toute pratique de danse, de théâtre ou de sport ; c’est aussi une forme d’art gestuel, de danse qui n’arrête jamais les gestes et qui rend la danseuse ou le danseur toujours dans la conscience de la circulation des gestes, de leurs naissances à leur retour à la source. Nos corps sont une succession de lignes circulaires qui vont et viennent, nos corps en cercles, et la vie revient.
La conscience du geste est aussi la conscience des sons que nous écoutons et que nous émettons. Nous sommes des émetteurs de sons qui partent d’un point dans le corps et ouvrent l’espace devant nous.
Le CHANT FONDAMENTAL est une technique de chant qui rend l’accord possible entre celle/celui qui chante et son corps. Cette autre façon d’aborder les sons m’a donnée une autonomie « sonore »; j’ai commencé à percevoir, à entendre des musiques de voix et j’ai ouvert la porte à des créations polyphoniques qui m’ont déjà permis de réaliser deux albums, Nos mémoires d’or et Les passagers.
Albums à retrouver dans la boutique : cliquez ici.
Captations photos et vidéos des concerts et spectacles à retrouver dans la rubrique : Archives
Crédits photographiques : Jean Gros Abadie
↑
• J’enseigne ces techniques au cours d’ateliers ou de stages :
Ateliers de chants polyphoniques à partir du 24 septembre, plus d'informations > ici.
Dès que j’ai commencé à apprendre la danse avec le projet de danser ma vie, je me suis lancée dans le difficile parcours de l’apprentissage de la danse en France en 1962, j’avais 16 ans….
Enfant j’ai toujours pratiqué la danse Rythmique d’Irène Popard, danseuse et chorégraphe négligée dans l’histoire de la danse française ; la sœur de ma mère était danseuse dans sa compagnie.
Je rencontre la merveilleuse Solange Golovine qui m’a fait toucher l’amour d’une danse classique de l’émotion et qui respectait et encourageait la danseuse et la chorégraphe contemporaine que j’étais. J’ai travaillé les techniques contemporaines, surtout Martha Graham. Je suis partie aux Etats-Unis à la rencontre de la DANSE JAZZ et là, le bouleversement de rencontrer des élèves qui dansent tout le temps, qui sont toujours présents à leurs corps alors qu’en France la danse était le plus souvent pratiquée dans la contrainte : la minceur, les critères de la beauté, la souffrance de l’apprentissage… Cette nouvelle énergie que je découvrais est parvenue en France ces dernières années grâce à l’apport des jeunesses d’autres pays qui se sont installées et qui ont enrichi les vocabulaires corporels européens.
A 20 ans je pensais que dans les temps très anciens les danseuses et les danseurs étaient aussi des guérisseurs et j’ai décidé de travailler à la création d’un nouveau langage de danse qui considérerait le corps dans son amplitude maximum en comprenant comment émettre nos gestes, où trouver leurs racines ; d’où proviennent nos mouvements, où vont-ils et comment reviennent-ils vers nous ? Et pourquoi ne pas vivre nos gestes en même temps que nos sons, est-ce que le son ne précède pas le geste ? Davantage de sons, davantage de gestes…
Nous sommes de merveilleux instruments de musique et nous devons nous accorder… Nous devons connecter nos cerveaux avec notre bonne fréquence de sons et de gestes.
La VOCAL DANCE est née après un grand cycle de recherches de 9 années avec ma compagnie permanente « les BALLETS DE LA CITE » installée en Normandie près de Rouen de façon permanente. C’est d’une part une technique d’échauffement qui peut être envisagée avant toute pratique de danse, de théâtre ou de sport ; c’est aussi une forme d’art gestuel, de danse qui n’arrête jamais les gestes et qui rend la danseuse ou le danseur toujours dans la conscience de la circulation des gestes, de leurs naissances à leur retour à la source. Nos corps sont une succession de lignes circulaires qui vont et viennent, nos corps en cercles, et la vie revient.
La conscience du geste est aussi la conscience des sons que nous écoutons et que nous émettons. Nous sommes des émetteurs de sons qui partent d’un point dans le corps et ouvrent l’espace devant nous.
Le CHANT FONDAMENTAL est une technique de chant qui rend l’accord possible entre celle/celui qui chante et son corps. Cette autre façon d’aborder les sons m’a donnée une autonomie « sonore »; j’ai commencé à percevoir, à entendre des musiques de voix et j’ai ouvert la porte à des créations polyphoniques qui m’ont déjà permis de réaliser deux albums, Nos mémoires d’or et Les passagers.
Albums à retrouver dans la boutique : cliquez ici.
Crédits photographiques : Jean Gros Abadie
↑
© Catherine May Atlani - 2024